Soirée fiévreuse pour Flora

Catégories : FETICHISMES au pluriel Enema Lavement / Médical
il y a 5 ans

Cela faisait quelques semaines que j'avais quitté Lyon et le domicile parental pour m'installer dans un petit studio du Val de Marne en vue de terminer mes études d'ingénieur.

J'avais 22 ans et l'impression de naitre une seconde fois, de revivre. Je découvrais enfin les joies de l'indépendance et de la liberté totale.

Le hasard avait fait que j'habitais la même ville que ma cousine, d'un an mon ainée, qui terminait ses études de professeur des écoles.

Nous étions tous deux célibataires et organisions à tour de rôle des soirées entre amis. Nous sommes devenus rapidement très complices, à tel point que certains de ses amis pensaient qu'il se passait quelque-chose entre nous.

Flora m'avait présenté à son groupe d'amis de la fac : Paula, Jérémy, Sophie et Vincent.

Ce soir-là, tous étaient réunis chez moi. Ce n'était pas le genre de soirée où l'alcool coulait à flots, juste le fait d'être ensemble, autour d'un bon repas, de rigoler, de nous raconter nos petites histoires... nous faisait passer du bon temps.

Au cours de la soirée, Flora vient me voir et me demande discrètement si j'ai un thermomètre.

J'ai tout d'abord pensé que j'avais mal compris et lui faisait répéter mais j'avais bien entendu.

Très surpris de sa question, je lui réponds néanmoins que oui et lui demande pourquoi et si elle est malade.

Elle m'indique alors qu'elle se sent effectivement fiévreuse mais me dit d'être discret afin d'éviter que ses amis entendent et ne se moquent si elle s'absente pour prendre sa température.

Je ne sais pas ce qui m'est passé par la tête mais en la regardant dans le fond des yeux, j'ai perçu une tendre lueur à la fois provocatrice et coquine. Je l'ai alors conviée à rester un peu après le départ du reste de la troupe.

Je n'ai cessé de penser à cette issue tout le reste de la soirée, à la fois excité et stressé.

Le moment venu il ne fut pas difficile d'expliquer que Flora restait pour m'aider à ranger.

Ce que nous avons fait l'air de rien comme si notre conversation n'avait pas eu lieu.

Lorsque cela fut fait, je pris mon courage à deux mains et lui lança "Alors, tu penses que tu as de la fièvre ?"

Un petit "oui" se décrocha timidement de ses lèvres.

Elle se reprit pour me demander où je rangeais le thermomètre afin qu'elle puisse faire le nécessaire.

"Ne bouge pas, je vais le chercher", lui dis-je. Je sentais son malaise et cela augmentait mon excitation.

Je revins et m'assis sur mon clic-clac après avoir bien agité l'instrument que j'avais pris soin de lubrifier.

Elle se tenait là, devant moi, les yeux baissés, les mains derrière le dos et les pieds croisés.

C'était une blonde magnifique, jeune, pétillante et souriante.

C'était le style cool: jean, pull presque trop grand, baskets...

"Et bien, qu'est-ce que tu attends ? Enlèves ton pantalon et viens sur mes genoux !"

"Pourquoi ? Tu veux le faire à la rectal ?" me demanda-t-elle pour la forme en guise de dernière résistance.

"Bien sûr, il n'y a que cette méthode qui est vraiment efficace".

Alors elle déboucla sa ceinture, laissa glisser son jean le long de ses jambes et s'allongea en travers de moi.

Elle portait une culotte de coton à motifs que je pris le temps d'admirer. Ce n'était pas du tout du style femme fatale mais c'était mignon et cela avait du charme à défaut d'être sexy.

Elle avait des hanches tout aussi généreuses que son fessier. Ce qui ne me laissait pas indifférent.

Je relevais alors légèrement son pull afin de pouvoir me saisir de l'élastique de sa culotte que j'enroulais lentement sur elle-même au cours de sa descente.

Je fis cela jusqu'à mi cuisse. Ce qui soulignait son absence à l'endroit habituel.

C'était humiliant mais débordant de tendresse et de complicité.

Elle se laissait complètement abandonnée, offerte et confiante. Elle avait besoin que l'on s'occupe d'elle. J'aimais cela.

Je caressais lentement ses deux hémisphères. Sa peau douce frissonnait.

Puis je me décidais enfin à écarter ses fesses avec deux doigts de ma main gauche pour pénétrer son petit orifice qui n'attendait que cela.

Elle poussa un petit gémissement tant de surprise que de plaisir.

Je la laissais ainsi plantée le temps nécessaire au mercure de monter et je posais ma main gauche sur son front.

Puis elle glissa dans ses cheveux ondulés et soyeux que j'ai caressés longtemps pendant que ma main droite restait posée sur ses cuisses.

Enfin mes doigts ont glissé sur sa bouche et elle se mit à les mordiller puis à les sucer goulument.

Cela faisait déjà plusieurs minutes et il fallait bien que je relève le compteur.

"Et bien tu as 38,5° ! Effectivement, tu couves quelque-chose..."

Je m'apprêtais à remettre en place sa culotte quand je sentis mes doigts mouillés.

Quelque-chose avait coulé le long de ses cuisses. Son sexe avait littéralement inondé son entre jambe.

Alors je me mis à la caresser, lentement pour commencer puis de manière plus intense, en jouant avec son bouton magique.

J'entendais son souffle haletant entrecoupé de gémissements. Son corps était pris de soubresauts qui la faisait se cambrer.

J'étais terriblement excité et je l'ai délivrée. Puis je l'ai serrée très fort dans mes bras et elle s'est rhabillée.

Nous ne sommes pas allés plus loin que ce flirt. C'était ma cousine et c'était mieux ainsi.

Mais cette soirée est restée gravée dans nos mémoires et je partage ce souvenir avec vous, presque 20 ans plus tard.

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